La majorité de la population algérienne souffre des maux de l'inflation et d'une croissance ralentie où la baisse du pouvoir d'achat persiste et se caractérise doublement Tout cela se situe dans un contexte socio-économique, où la mafia et les ripoux défient les lois de la République. La dette extérieure n'est plus qu'une histoire du passé et les caisses de l'Etat pleines à craquer de milliards de dollars. Les institutions de l'Etat DCP et autres absentes sur le terrain, Les augmentations anarchiques et illégales des prix acculent à la misère la grande majorité de la population et surtout les structures d'endiguement et de contrôle de la colère des travailleurs et retraités sont fissurées. Les prix des hydrocarbures (bien du peuple) ont triplés, la vignette auto, la TVA, la facture Sonelgaz et surtout de l'eau et d'autres charges ont brisé les dos des chefs de familles ?sans pour autant sensibiliser les «cœurs» de nos députés et Sénateurs qui sont fortement payés pour plaider la cause de leurs électeurs. La presse est créée pour se battre et vaincre, sa cause est juste elle défend la Patrie et le peuple, elle n'est pas faite pour être le haut parleur et l'amplificateur des commis de l'Etat ou les élus. Certainement elle est là, pour applaudir les biens faits pour ce pays et son peuple et par la même occasion son rôle principal est de dénoncer les ripoux, les corrompus et les serviteurs des puissances étrangères. C'est pourquoi la presse s'implique dans ces créneaux. Enrichissez-vous ! avait dit l'un, trop d'impôt tue l'impôt, avait répliqué un autre. Ce faisant, les Etats se construisaient dans la consolidation des nations et la percée du progrès scientifique, technologique, social. Où veulent-ils en revenir direz-vous ? Pourquoi ce préambule ? Juste pour dire dans notre pays, nous traînons encore beaucoup de complexes de culpabilité, des vielles rancoeurs. Les choses ne sont jamais abordées directement. Certes, tout ce monde a fini plus plus ou moins à comprendre qu'une « puissance sans scrupule, maintient une pression sur le pauvre citoyen pour le pousser vers l'inconnu !! Ce sont ces gens là qui hier donnait raison à un terrorisme aveugle et sanguinaire. Bien que le Président Bouteflika quant il a accepté de venir diriger le pays , il a vait trois priorités :Il s'agit de la paix, du passage d'une économie centralisée à une économie de marché et de l'instauration de la démocratie et de l'Etat de droit. S'agissant de la paix, le chef de l'Etat a déclaré qu'il « fera la paix et la sécurité en Algérie » quel qu'en soit le prix : « Quoi qu'il me coûte ! »a t-il précisé. Au chapitre des réformes économiques, il a indiqué que du fait de la proximité géographique de notre pays avec le vieux continent, le peuple Algérien est « extrêmement exigeant ». Il veut par conséquent se placer au même niveau de vie que les Européens (pourquoi pas) C'est la raison pour laquelle le passage à une économie de marché est impératif « Quels que soient les sacrifices à consentir, nous irons vers une économie de marché ! » a déclaré Bouteflika. Seulement c'est le pauvre citoyen qui fait partie des sacrifices !! Quant à la troisième priorité, à savoir une véritable démocratie dans le pays et consacrer un Etat de droit, il a estimé que les réalisations en la matière sont jugées « prometteuses ». A ce propos. Il est revenu sur le parcours de certains pays, tels ceux de la « France et la Grande Bretagne, lesquels ont mis des siècles pour véritablement consacrer la démocratie » Le Président a indiqué au passage que le processus de démocratisation « est une culture qui, en Algérie, n'est pas encore mûre dans les esprits ». Aujourd'hui, la presse constate elle-même, que la pauvreté atteinte progressivement la famille Algérienne. Une minorité vit la belle vie et ce n'est pas correct. Car déjà durant les années quatre vingt, le Président Chadli Bendjedid, prévoyait de lancer la Sécurité Militaire aux trousses de ce qui se sont enrichis illégalement. C'est pourquoi il voulait exécuter sur le terrain le slogan ‘' Min Ayna Laka Hada ‘' Tout de même, il ne savait pas ou on n'a pas voulu lui dire la vérité : de quelle puissance cette mafia est si forte. Tout juste après, il y a eu les troubles du octobre 1988, que le général Khaled Nezar qualifiera de « Chahut d'enfant » qui a forcé le Président à donner le feu vert à l'armée de réprimander le peuple ! Quatre années plus tard Pauvre Chadli forcé une seconde fois à déposer sa démission. La suite est connue. Les grands hommes et femmes de ce pays assassinés. Parmi eux l'homme des dossiers, « l'œil de lynx » le regretté Kasdi Merbah.. Comme on n'a voulu liquider quelques années plus tôt Boumediene, Bouteflika, et l'homme des investigations Benhamza, par des tueurs venus de l'autre rive de la méditerranée. Cette fois-ci, il y a eu une préparation au préalable Bouteflika, savait très bien à qui il a affaire, c'est pourquoi le Département des renseignements et de la Sécurité est entré sur scène tout en collaborant avec les autres services de sécurité qui sont aussi important que le DRS. L'ensemble, cette fois-ci semblaient jusqu'à maintenant donner une grande satisfaction. A la DGSN après le regretté Si Ghaouti. L'officier Affani Abdelaziz tient les arènes et continu le combat. Le train ne s'arrêtera pas il continu dans sa direction. Le citoyen, ne doit pas se positionner en spectateur, mais en acteur sur le terrain, car c'est l'avenir de ses enfants qui est en jeu. Ces ripoux veulent jeter tous les enfants du peuple à la mer vers la Harga, pour que leurs enfants règnent en maître. Dénoncer la corruption et les corrumpus est un acte der patriotisme, de bravoure en ce temps et de nationalisme. Défendre la corruption et les corrumpus et les protéger, est un acte de lâcheté de traîtrise et de complicité. Le choix est devant tout le monde, Seulement on ne croit pas que les algériens qui avaient combattu le colonialisme durant 132 ans, accepteront la corruption dans leur société indépendante.. Point final.