On dit que tout le monde n'invente pas ; mais peut appliquer son concept par l'utilité du moment ; une ville comme Mostaganem est en panne d'idées à présenter dans ce cas précis, car il est utile de présenter certains aspects négatifs pour y revenir par une analyse, qui peut être importante, à commencer par l'absence de planification, de structuration, de réaménagement et de réhabilitation des sites déjà existants. Il ne s'agit pas seulement de cela, mais aussi de revoir les états d'avancement des projets de secteurs vitaux, mis en route, tel l'investissement qui est générateur de l'emploi et de la croissance économique par une gestion rationnelle des ressources humaines et matérielles. Stimulé le développement de la cité à l'échelle requise, nous permet de souligner le caractère préliminaire de certains secteurs par des changements intervenus, sans que l'on constate un impact positif. Dans cette optique il y a lieu de recenser les effets négatifs qui freinent, tout processus d'évolution, à savoir :- (1) Eradiquer la bureaucratie- (2) améliorer le secteur de la santé publique - (3) rehausser l'éducation avec une meilleure prise en charge - (4) Redéfinir les priorités, tels que le réaménagement, du centre ville, du marché de l'Ain Sefra, des espaces verts, redynamiser toute activité aux attributs économiques, comme la réorganisation des transports qui demande à être revue de fond en comble. Mostaganem est une région à vocation agricole, dont les ressources sont inépuisables, de par son importance et son potentiel qui est en mesure de fournir au citoyen les besoins qui lui sont indispensables. Il faudra aussi axer les efforts, dans : La formation, la gestion des ressources humaines, la production, encourager l'investissement facteur essentiel pour la croissance et la viabilité, enfin cerner le déficit qui reste à combler notamment par une nouvelle organisation du réseau routier devenu obsolète, par la densité du trafic et les embouteillages, malgré les feux de signalisation nouvellement installés. La dernière réalisation d'une trémie, pour réguler la circulation à partir de l'entrée de la ville, en direction de la Salamandre, pour se prolonger à l'avenue Ould Aissa Belkacem, ne peut régler ce problème ou rendre la circulation plus fluide, vu l'exiguïté du réseau routier de la ville, ainsi que son centre qu'il va falloir désengorger. Une réorganisation du réseau routier et du circuit dans la cité permettra de corriger des opérations mal conçues ou mal ordonnées, il s'agit de trouver des solutions, par l'utilisation rationnelle des moyens, quoi qu'ils ne manquent certainement pas. Dans ce contexte il reste aussi à cibler les priorités : (1) Donner de l'importance à l'environnement, aux espaces verts, réhabiliter les sites délaissés, à savoir le jardin Emir Aek, les chemins de fer. (2) Revoir la planification, à court, à moyen et long terme que les objectifs feront apparaître, par l'orientation et Les transformations déjà enregistrées dans les secteurs d'activités. Tirer les conclusions en fonction des priorités par les préférences sectorielles et collectives dans l'alternative d'une ville qui a toutes les conditions requises pour son développement interne et externe. Atteindre les objectifs de sorte que l'on puisse utilement comparer l'évolution, dans les domaines précités et qui accusent un retard considérable dans les secteurs clef cités. La concertation active ne peut qu'aboutir par des performances dans la mesure où l'on s'accorde sur les objectifs assignés. Ces réflexions par la théorie élaborent de la mise en œuvre d'une politique de stabilisation par contribution qui réside plus généralement dans la façon dont on pense aux problèmes que dans le contenu pour faire appel au concept d'objectifs à atteindre.