Usant du droit de réponse en vertu du code de l'information et en ma qualité de directeur cité dans l'article intitulé « des syndicalistes dénoncent un directeur à Tiaret… un scandale se fait sentir au CFPA » parut dans votre quotidien « Réflexion » en date du 14/11/2010, rubrique « région » et signé par « Faiçal », votre correspondant lequel tient des intimités trop étroites avec le nommé Kouachi Boualem, agent d'entretien contractuel, président de la section syndicale au niveau du CFPA Hamdani Adda à Tiaret, instigateur principal de l'article qui demeure sans fondement et dénué de toutes normes de déontologie et de professionnalisme puisque le signataire de l'article n'a pas eu le courage de s'approcher de la direction de l'établissement pour l'écoute de la partie « inculpée » et en tant que directeur, nous œuvrons à capitaliser la transparence et répondre à toutes les doléances de l'opinion publics en notant bien que les informations contenues dans l'article sont tendancieuses et fallacieuses et l'argumentation ne fait que dévaloriser l'éthique du journalisme et son acolyte le syndicaliste « énigme » et a titre d'exemple : Est-il du ressort d'un agent contractuel 05 heures/jour de demander le départ d'un directeur et de lui reprocher la mauvaise gestion tout en sachant que le contrôle de celle-ci est confiée à un personnel spécialisé et compétant en la matière. Au sujet de la lettre adressée au DEF : est-il utile de rappeler que celle-ci à déjà fait l'objet d'une enquête au préalable par les services de la DFP, ensuite par la tutelle concernant les œuvres sociales et jusqu'à preuve du contraire, la personnel de l'établissement à bénéficier de ses droits (exercice 2008/2009/2010). La mise à la retraite de l'employée en question est survenue conformément à la réglementation en vigueur pour ce qui est des frais de mission les textes régissant cette dépense sont clairs. Le licenciement des trois travailleurs n'a jamais eu lieu hormis un seul qui a été auteur d'atteinte à la souveraineté de l'état. Concernant les autres informations contenues dans l'article, nous nous voyons contraint d'interpeller le correspondant de la presse ainsi que le président de la section syndicale de l'établissement et le secrétaire général du syndicat des établissements de la wilaya d'apporter les preuves devant le tribunal compétant, en signalant bien que nous détenons les nôtres. Enfin, nous demandons à la rédaction du journal et avec tous les respects d'insérer ce droit de réponse dans les colonnes de « Réflexion ».