Hormis la discipline sportive, le complexe de la jeunesse de la ville de Sidi Bel-Abbès, est, a plus d'un titre, un lieu de « prédilection » pour un grand nombre de jeunes et constitue, de ce fait, un des pôles d'animation les plus sollicités quotidiennement pour une occupation saine sur le plan culturel et scientifique. En effet, l'enceinte en registre régulièrement une animation fébrile et particulière ou durant les après-midi des mardis et jeudis, les écoliers envahissent les lieux pour s'adonner à leurs jeux favoris sur micro. Aussi, l'emplacement du complexe est, de surcroît, grandement favori par les moyens de transport (bus et taxis). Et, choix juridique, il faut en convenir, quant on sait qu'une partie de la jeunesse, en majorité exclue des établissements scolaires, souffre de l'oisiveté avec toutes les conséquences que l'on devine. Dans ce contexte, il y a lieu de souligner que le complexe offre une variété d'activités notamment la photographie, l'audio-visuel, l'informatique, les jeux d'échec, la peinture, etc... Et sans oublier les cycles d'initiation et de formation dans le domaine de l'artisanat traditionnel, la broderie, les arts plastiques sous la houlette d'encadreurs spécialisés. Et une dernière création, une école des arts martiaux, un plus pour le complexe. D'autre part, les responsables du complexe procèdent, de temps a autre, a l'organisation de manifestations culturelles telles que des expositions, tables rondes sur divers sujets, séances explicatives et sur les effets néfastes des drogues et tabac. Dans cet ordre d'idées, il faut relever que ces actions sont méritoires dans la mesure où elles renforcent l'idée majeure que la prévention, la lutte contre la toxicomanie et autres fléaux sociaux constituent indubitablement une responsabilité collective, a plus d'un titre. Enfin, en général, un tel espace démontre tout l'intérêt des responsables et de l'Etat au chapitre de la jeunesse, ce qui signifie en clair que le problème de la jeunesse est l'affaire de tout le monde