En l'absence de l'une des victimes et certains témoins dont, encore une fois, le président de l'APC, le président du tribunal de Gdyel a décidé de reporter, une nouvelle fois, au 8 février prochain, le jugement de l'affaire de faux, d'escroquerie et délivrance de documents comportant des fausses déclarations et dans laquelle sont impliqués des élus de l'APC de Hassi Mefsoukh et le directeur d'un bureau d'étude. La même affaire avait déjà été reportée, le 28 décembre dernier, pour raison d'absence de témoins dont le maire et d'un employé communal. Selon des sources informées, il est question, dans cette affaire, de la délivrance d'actes de lots de terrain, situés dans le village de Bouamama, portant le cachet d'un ex-P/APC, ainsi que des autorisations de construction. Les deux élus mis en cause dans cette affaire auraient été suspendus provisoirement de leur fonction en attendant la décision du tribunal. Un autre élu, soupçonné d'avoir trempé dans une autre affaire aurait été, lui aussi, suspendu de ses fonctions électifs. Il est accusé d'avoir délivré un document comportant de fausses déclarations, devant permettre à l'un de ses proches de régulariser sa situation foncière.