Une plainte a été officiellement déposée par le P/APC de Hassi Mefsoukh auprès du procureur de la République, près du tribunal de Gdyel, à l'encontre de ses adversaires du conseil communal. Ces derniers avaient procédé au retrait de confiance, l'accusaient de mauvaise gestion et demandaient aux autorités compétentes d'ouvrir une enquête. Ces cinq élus sont: C. C. (Délégué de Haï Bouamama), L. M., B. B. et L. H. ainsi que D. N. La réaction du président de l'APC a été de porter plainte contre les 5 élus et, ce, en les accusant de diffamation, vu que les faits qu'on lui reprochait n'ont été prouvées par aucune commission d'enquête. Le P/APC a aussi précisé que ses adversaires avaient déjà essayé auparavant de lui retirer confiance, mais que l'administration de tutelle avait refusé, faute de preuves. L'affaire a ensuite été menée devant la justice qui, elle aussi, a débouté leur plainte pour les mêmes motifs. En parallèle, M. Haoua a porté plainte contre deux des élus, pour usurpation de fonction et, ce, après avoir été suspendus de leur fonction d'élus par un arrêté, émis par le wali en date du 27 décembre écoulé, vu qu'ils étaient sous le coup de poursuites judiciaires. Il faut savoir que le mouvement associatif ainsi que les citoyens de la commune ont signé une pétition dans laquelle ils soutiennent le maire en poste. Pour l'instant, l'enquête suit son court.