Les intemp?ries qui persistent depuis quelques jours ont fortement perturb? la circulation routi?re au niveau du troisi?me p?riph?rique, particuli?rement ? hauteur des ?Amandiers? ? Oran, o? il a ?t? enregistr? un important ruissellement des eaux. Cette situation n?cessite la r?alisation imm?diate d?un r?seau de drainage des eaux de pluies. Idem pour Ha? Bouamama, devenu un tron?on ? risque ? cause du ruissellement des eaux sur la route qui paralyse, des heures durant, la circulation routi?re. Il faut dire que ?des mesures urgentes ont ?t? prises, de concert avec la Direction de l?Hydraulique pour l?inscription de ces op?rations et pour en finir avec ces deux principaux points noirs qui persistent?, rassure une source responsable de la wilaya qui reconna?t toutefois que ?les diff?rents points noirs signal?s n?ont pas n?cessit? d?interventions sp?cifiques puisqu?elles ont ?t? prises en charge, pour l?essentiel, par les services techniques territorialement comp?tents?. C?est le cas notamment ? Bir El-Djir o? les pluies qui s??taient abattues, durant la nuit du 30 au 1er d?cembre, ont caus? quelques d?bordements au niveau de Douar Essektine, ? Kh?misti, qui longe le boulevard du Mill?nium et o? des travaux de voirie et d?assainissement sont en cours. Un probl?me qui est en passe d??tre r?gl?, comme le tiennent ? le rassurer les ?diles qui expliquent aussi que pas moins de cinq points noirs ont ?t? d?finitivement pris en charge et de fa?on durable ? l?exemple de l??changeur de Sidi El Bachir, un point bas qui connaissait jusque-l? des stagnations des eaux de pluie. L?autre point noir a ?t? observ?, hier, par des automobilistes, sur le chemin de wilaya 4 (CW 4), qui relie le rond point de la p?pini?re aux ?b?timents des Italiens?, plus exactement ? proximit? de la cit? universitaire C4 o? les stagnations des eaux de pluie ont rendu difficile la circulation automobile des heures durant. Il faut dire aussi que le passage reliant la cit? AADL ? l?USTO par l?Universit? Mohamed Boudiaf, c?t? nord, est devenu un tron?on ? risque pour les automobilistes, compte-tenu des stagnations des eaux r?currentes enregistr?es au niveau de ce point bas, comme le d?plore un conducteur qui se d?sole que les caniveaux ne soient pas dot?s de grillage de protection. Cette situation est li?e somme toute au manque d?avaloirs, corrige le Secr?taire G?n?ral de la commune de Bir El-Djir qui explique que le pr?sident de l?APC de cette commune a donn? des instructions aux services techniques concern?s pour prendre en charge ce probl?me. ?Un probl?me qui se r?p?te et qui n?cessite la r?alisation d?autres avaloirs?, ajoutera notre interlocuteur qui ?voque au passage les limites des ?tudes de la voirie et circulation faites dans le temps et r?alis?es, selon d?autres donn?es d?su?tes, comme par exemple, un taux de pluviom?trie tr?s faible. ?Tout cela m?rite d??tre revu et corrig??, fit-il remarquer, citant dans la foul?e ces buses sous dimensionn?es. ?Des buses qui m?ritent, note-t-il, d??tre remplac?es, non sans pr?ciser que le point noir signal? ? hauteur de la cit? universitaire C4 est pris en charge par la Direction de l?Urbanisme et de la Construction qui entend multiplier les avaloirs sur ce tron?on. Il faut reconna?tre que la situation s?est nettement am?lior?e par rapport ? l?ann?e 2005 o? la cit? Petit Lac se transformait chaque ann?e en un grand lac.