Les pluies qui se sont abattues sur la r?gion du Sersou, ont lev? le voile sur certaines imperfections relev?es dans les domaines du b?timent, des travaux publics et de l?habitat (BTPH). Comme certains quartiers sont enti?rement labour?s par les engins de travaux publics lou?s par des entreprises aux m?urs peu professionnelles, les habitants se sentent tout simplement pris en otage dans leurs propres demeures, car tous leurs acc?s sont obstru?s par la gadoue. Comme si cela ne suffisait pas, des infiltrations d?eaux pluviales sont signal?es au sein d??quipements structurants, dont la livraison et m?me la r?ception auraient ?t? effectu?es, semble-t-il, en bonne et due forme. Quant aux routes qui ont subi des transformations durant la saison chaude, elles ont fini par c?der devant la force ruisselante des eaux des pluies, puisque des nids de poules y sont apparues et ont vite laiss? place ? de v?ritables crat?res, l??rosion ayant fini par mettre ? nu les limites de la r?sistance des mat?riaux utilis?s. Dans ce plateau au demeurant d?gradant, le CW7 menant de Tiaret ? A?n Dzarit via Bouchekif, serait selon les sp?cialistes des travaux routiers, un ?chantillon parfait du seuil d?incomp?tence atteint par les entreprises qui se sont succ?d?es sur ce parcours. Et pour cause, des tron?ons longs de 200 ? 300m y sont fortement d?grad?s, au point o? m?me les derni?res r?parations palliatives n?ont pas r?ussi ? maintenir la p?rennit? de la surface de roulement.