Le jeune arrière gauche d'El-Khadra annoncé au CS Constantine, au MC Saïda et au MC Oran ne souhaite plus jouer à l'USMBA, son équipe de toujours, il veut aller sous d'autres cieux mais il reste en bute au problème de sa libération. Samir exige qu'on le libère quitte à payer sa lettre de libération» Je compte changer d'air, je veux aller jouer sous d'autres cieux. J'ai quelques contacts mais je ne me suis pas encore décidé sur ma future destination car je suis en bute non seulement à la question de ma lettre de libération mais aussi sur mon choix qui n'est pas encore fait, car je veux bien étudier tous les contacts qui me sont offerts, en plus j'ai l'intention de réussir ma carrière, mon objective personnel est de faire un nom dans la scènes footballistiques. Il est vrai que je suis annoncé au CS Constantine, MC Saïda et au MC Oran mais rien n'est décidé ou sûr tant que je n'ai pas mes documents ». Sur sa préférence, entre la proximité du MCO et du MCS et la tentation d'une aventure à l'est, il dira » Ecoutez, nous sommes dans un monde professionnel, il faut savoir maintenant apprendre à gérer sa carrière. Ne voit-on pas aujourd'hui plusieurs équipes composées de joueurs venus d'autres horizons et des quatre coins du pays. Le joueur doit aller vers sa destinée, là il où se sent à l'aise et où les conditions sont réunies. Il doit jouer et mouiller son maillot. Si au CSC, on m'estime à ma juste valeur et que le challenge est l'accession je signerai sans problème ». A la question de savoir pour quelles raisons veut-il quitter son club, de toujours, il répondra « L'envie de jouer n'y est plus franchement, ce que nous avons enduré l'an passé je ne l'ai jamais vécu durant mes 25 ans de ma vie. On a été insulté par le public, et de quelle manière, notamment lors des défaites dans les deux derbys face au WAT et au MCO. Je veux changer d'air car je n'ai plus l'envie de revivre le cauchemar de l'an passé ». Quant à la destination MCO à cause du probable départ de Bengorine au NAHD, il affirme « Je ne sais rien à ce sujet car pour moi rien ne pourra se faire tant que je n'ai pas ma lettre de libération ». Prié de dire s'il en a discuté avec les dirigeants, il confie « Pas encore, je vais les rencontrer cette semaine et je veux leur demander de me libérer. J'espère qu'on libèrera et qu'on ne me retiendra pas, quitte à payer ma libération pour peu qu'on me laisse partir ».