Ils sont des centaines d'habitants à Gdyel à passer de longues heures de la journée, sans électricité, vu les coupures récurrentes.Le sentiment était à l'exaspération vendredi, à Gdyel, à cause d'une coupure d'électricité qui a duré plusieurs heures dans une bonne partie de cette agglomération urbaine. Après plusieurs tentatives de réparation de la panne, l'électricité a été rétablie dans la nuit, mais seulement dans certains quartiers. A ce propos, l'on croit savoir que des élus de la commune de Gdyel ont contacté la permanence des services de la SONELGAZ, afin d'intervenir en urgence et réparer ainsi la panne. Selon des sources de la commune de Gdyel: «Ce sont les vents violents qui ont sévi, ces dernières 48 heures, dans la région, qui ont provoqué cette panne. Plusieurs câbles ont été endommagés.» Puis ces mêmes sources ajouteront: «Les agents de la SONELGAZ se sont rendus sur les lieux et ils y sont restés jusqu'à une heure tardive. Ils ont réussi à rétablir l'électricité dans une partie seulement des quartiers de la commune et des localités, telles El Hachemia et RHP, elles n'ont toujours pas été reconnectées au réseau de l'électricité. Il faut dire aussi qu'à cause des ces coupures récurrentes d'électricité, les bougies ont réussi à remplir les poches des commerçants de la commune qui, parfois, ont du mal à satisfaire la demande de tous les habitants. «Une situation inadmissible lorsqu'on sait qu'il s'agit de coupures à répétition, intervenant à chaque mauvais temps», fera observer cet autre habitant de la cité des 199 logements, relevant de la commune de Gdyel, avant d'enchaîner: «Heureusement pour les habitants de ma cité et celles dite El Taliane et du centre-ville de la commune, l'électricité nous a été rétablie, avant-hier, très tard dans la nuit.» En revanche dans le quartier El Hammar et dans la partie B de la cité RHP, «Les habitants sont toujours dans le noir et sont ainsi privés de télévision, faute d'électricité et à ce jour, aucune lumière n'est encore venue éclairer les journées de ces habitants», nous dira-t-on.