Lors des portes ouvertes organisées par le MCS, du 08 au 10 mai, plus d'une centaine d'invités parmi eux des anciens joueurs du MCS et de l'équipe nationale du FLN ont répondu présents à cette cérémonie au cours de laquelle ils ont été accueillis chaleureusement. Ces derniers ont profité de cette rencontre pour rappeler aux présents venus les rencontrer la glorieuse époque de l'équipe du FLN, soulignant que le football, aujourd'hui, est devenu un fonds de commerce contrairement à cette époque où ils ont joué uniquement pour le drapeau et le pays sans aucune contre partie matérielle ni financière. Brahim Belhadjar, l'ex vice président du MCS des années 2007 et 2008 et un supporter avéré du MCS que nous avons rencontré juste après la cérémonie de clôture du 47ème anniversaire de la fondation du Mouloudia de Saïda (MCS), n'a pas caché sa satisfaction pour le programme qui a été à la hauteur des invités qui ont tenu à y être présents, à l'image de Rachid Mekhloufi, Rouai Amar, Zitouni, Saïd Amara, Soukhane Mohamed, Mohamed Maouche, Sahraoui Kerroum, Mokri, Tasfaouet Abdelhafid et Selguia, le gardien de l'équipe nationale des années 1970, sans oublier les anciens du MCS, Allal Mohamed, Megherbi Mohamed, Menni Mohamed, ouis Omar, Deroussi, Khalef, Zitouni, Ba Ahmed, Baghdad. Concernant la rencontre de ce samedi entre les Mouloudiens et les Asémistes, notre interlocuteur nous dira : «C'est un derby entre deux voisins qui sont de vieilles connaissance. C'est une rencontre pas comme les autres mais presque comme une finale de coupe. C'est un match difficile pour les deux équipes mais la mission du MCS n'est pas impossible puisque un match nul lui suffira pour accéder au palier supérieur». Il estime que les 22 acteurs vont offrir au public un beau football. «Seulement, je veux dire à nos frères et voisins de l'ASMO que c'est leur droit de demander le renfort du service d'ordre, mais, moi, je leur dis ‘soyez les bienvenus'. Vous étés nos invités et rien ne va vous arriver. La rencontre c'est 90 minutes de jeu mais les relations restent pour toujours. Et merci à mon journal préféré La Voix de l'Oranie», ajoutera-t-il.