Le Plan d'action du gouvernement a été adopté lundi à main levée par la majorité des membres de l'Assemblée populaire nationale (APN). Deux cents vingt et un (221) députés ont voté pour le plan d'action du gouvernement, 41 ont voté contre et 47 se sont abstenus, au terme d'une séance plénière à l'APN consacrée aux réponses du Premier ministre, M.Abdelamalek Sellal, aux questions et observations des membres de la chambre basse du Parlement. Le débat à l'APN, qui a duré quatre jours, a été marqué par les interventions de plus de 200 députés appartenant aux différents partis politiques représentés à l'APN qui ont évoqué les axes du plan d'action, notamment, la promotion de la bonne gouvernance et l'amélioration du service public en vue de prendre en charge les préoccupations quotidiennes du citoyen ainsi que les problèmes que connaissent certains secteurs tels la santé, l'enseignement et la jeunesse. Les députés ont également abordé la relance de l'économie nationale, l'encouragement de l'économie productive, l'indépendance de la justice et la lutte contre la corruption et la bureaucratie. Le Plan d'action du gouvernement adopté par le Parlement ALGER - La nouvelle Assemblée populaire nationale (APN), a adopté lundi à la majorité, le plan d'action du gouvernement du Premier ministre Abdelmalek Sellal. Les députés du parti Front de libération nationale (FLN), du Rassemblement national démocratique (RND) et les indépendants ont adopté à main levée le plan d'action du gouvernement. Les représentants du Front des forces socialistes (FFS) et ceux du Parti des travailleurs (PT) se sont abstenus au vote, tandis que ceux de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) ont voté contre ce plan d'action. Les débats à l'APN, qui ont duré quatre jours, ont été marqués par les interventions de plus de 200 députés appartenant aux différents partis politiques représentés à l'APN ainsi que les indépendants. Ils ont évoqué les différents axes du plan d'action, notamment, la promotion de la bonne gouvernance et l'amélioration du service public en vue de prendre en charge les préoccupations quotidiennes du citoyen ainsi que les problèmes que connaissent certains secteurs tels la santé, l'enseignement et la jeunesse.