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Signature de l'Accord politique interlibyen pour sortir la Libye de la crise, aboutissement d'un processus de dialogue
Publié dans Algérie Presse Service le 17 - 12 - 2015

L'Accord politique destiné à trouver une issue pacifique à la crise en Libye a été signé jeudi sous l'égide des Nations Unies par les parties au dialogue interlibyen entamé en mars 2015 à Alger par une réunion ayant regroupé les parties et personnalités politiques influentes.
Le document a été signé par l'ensemble des parties libyennes dont le parlement reconnu par la communauté internationale basé à Tobrouk, le Conseil national général (CNG) à Tripoli, des indépendants, des représentants de partis politiques ainsi que par des représentants de la société civile et des communes.
La Libye est plongée dans le chaos depuis la chute de l'ancien régime de Maamar El-Gueddafi fin 2011. Deux autorités politiques se disputaient le pouvoir, l'une basée à Tripoli et l'autre, la seule reconnue internationalement, basée à Tobrouk dans l'est du pays.
En effet, les rencontres d'Alger avaient permis l'intensification des efforts diplomatiques dans le cadre de la médiation onusienne pour ramener les parties libyennes à se regrouper autour de la table du dialogue.
L'Algérie, qui n'a pas cessé de souligner l'urgence de former un gouvernement d'union nationale. "Tout au long du processus qui a été mené par les Nations unies, les acteurs libyens qui y ont pris part ont fait preuve de patience et d'écoute pour mettre fin à cette crise qui affecte leur pays", avait indiqué le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue des Etats Arabes, Abdelkader Messahel.
La position constante de l'Algérie a pesé de tout son poids dans pour l'aboutissement à un tel accord. Elle a de tout temps appelé au règlement de cette crise à travers la solution politique, fondée sur "le respect des principes de la souveraineté, de la non ingérence, de l'intégrité territoriale, de l'unité nationale de la Libye et de la cohésion de son peuple, devant conduire à l'urgence de la mise en place du gouvernement d'union nationale, basé à Tripoli, pour combler le vide institutionnel en Libye".
Récemment, lors d'une conférence à Rome sur la Libye, M. Messahel a également souligné que "le terrorisme et ses connexions criminelles se nourrissent et se répandent de l'absence d'un Etat capable, fort et juste", ajoutant que "c'est pour quoi il a insisté sur la signature d'un accord politique et l'urgence de la mise en place d'un gouvernement d'union nationale, la seule voie à même de faire face aux défis politiques, économiques et sécuritaires".
Il a, à la même occasion, appelé l'ensemble des Libyens à s'approprier "la solution politique, et à prendre en main leur destin en transcendant leurs différends et divergences, pour faire valoir l'intérêt suprême du peuple libyen qui aspire à vivre dans la paix, la sécurité et la stabilité".
Accord politique inter-libyen : formation dans 40 jours d'un gouvernement d'union nationale
TRIPOLI-Les représentants des parlements rivaux libyens ont procédé jeudi à la signature de l'accord politique parrainé par les Nations-Unies et qui prévoit la formation, dans quarante jours, d'un gouvernement d'union nationale, première étape pour un règlement du conflit en Libye.
La première clause de l'accord politique en Libye prévoit la mise en place, quarante jours après la signature, d'un gouvernement d'union nationale.
Pour surmonter la rivalité entre les deux Parlements rivaux en désaccord depuis l'été 2014, l'ONU propose de répartir le législatif entre les deux. Celui de Tobrouk deviendrait une Chambre des représentants, celui de Tripoli un Conseil d'Etat.
L'exécutif serait confié à un conseil présidentiel de neuf ministres et toutes ces institutions devraient siéger dans la capitale Tripoli, ont rapporté des médias.
Le document a été signé par l'ensemble des parties libyennes engagées dans le dialogue entamé depuis plus d'un an, sous l'égide de l'ONU, dont le parlement reconnu par la communauté internationale basé à Tobrouk, et le Conseil national général (CNG) à Tripoli, des indépendants, des représentants de partis politiques et des représentants de la société civile et des communes.


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