Voici les déclarations marquantes du 16 ème jour de campagne en prévision du référendum sur le projet d'amendement de la Constitution, prévu le 1er novembre 1954 et initié par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune: -Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sid Ali Khaldi, à Alger : le projet d'amendement de la Constitution "encourage" les jeunes à participer à la vie publique et politique, le référendum une "étape marquante dans l'histoire de l'Algérie". - Le Secrétaire général du Front de Libération national (FLN), Abou El Fadhl Baâdji depuis Bouira : le projet d'amendement de la Constitution consacre dans ses articles "la souveraineté et la volonté du peuple algérien" qui, grâce à son hirak pacifique, "a sauvé le pays de la dérive". -Le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Bélaid à M'Sila : les médias peuvent avoir un "rôle important" dans la campagne de sensibilisation en faveur de ce projet et contribuer à l'explication de ce projet de son contenu afin d'inciter les citoyens à "participer" au scrutin. -Le président du parti de la Liberté et de la Justice (PLJ) par intérim, Djamel Ben Ziadi à Biskra: ne pas porter de "jugements " sur le projet soumis à référendum avant une "lecture sérieuse". -Le président du parti El Islah, Filali Ghouini à Boumerdes: le projet de révision de la Constitution consacre "le rôle" de la jeunesse et de la société civile dans la Nouvelle Algérie. -Le Secrétaire général de l'Union générale des Travailleurs algériens (UGTA), Salim Labatcha, à Oran: le projet d'amendement constitutionnel est "un passage obligé pour édifier une Algérie nouvelle et rompre avec les pratiques du passé." -Le Secrétaire général de l'Union nationale des Paysans algériens (UNPA), Mohamed Alioui, à Mila: "s'unir" autour du projet d'amendement constitutionnel et "le plébisciter" car "nécessitant "un avis consensuel''. -Le président du réseau "Nada" pour la défense des droits de l'enfance, Abderrahmane Arrar à Guelma: la qualité de "partenaire" à la société civile accordée dans le projet de révision de la Loi fondamentale du pays est "motivante " pour plébisciter ce texte.