Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a eu, jeudi à New York, plusieurs rencontres bilatérales en marge des travaux du débat général de l'Assemblée générale (AG) des Nations Unies, a indiqué un communiqué du ministère. Dans ce cadre, M. Attaf a rencontré "le ministre des Relations internationales et de la Coopération de la République d'Afrique du Sud, Ronald Lamola, le ministre des Affaires étrangères et du Commerce international de la République du Zimbabwe, Frederick Shava, la Directrice générale du secrétariat continental du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs, Marie-Antoinette Rose Quatre, et l'ambassadeur itinérant des Etats-Unis pour la liberté religieuse, Rashad Hussain", a précisé le communiqué. Lors de leurs entretiens, MM. Attaf et Lamola "se sont concertés sur différentes questions d'intérêt commun aux niveaux africain et international, mettant en avant la convergence de positions et de vues entre les deux pays frères, partant de leur attachement commun aux principes de la Charte des Nations Unies et aux valeurs de l'Acte constitutif de l'Union africaine (UA)", selon la même source. Par ailleurs, la rencontre entre M. Attaf et son homologue zimbabwéen a permis aux deux parties d'examiner les moyens de renforcer les relations bilatérales et de procéder à un échange de vues et d'analyses sur nombre de dossiers et de questions inscrites au niveau de l'ONU et de l'UA. La rencontre entre M. Attaf et la Directrice générale du secrétariat continental du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs a, quant à elle, été "consacrée à la coordination et à la concertation concernant la mise en œuvre du programme de la présidence algérienne de cet important mécanisme africain, assurée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour la période 2024-2026". Les entretiens entre le ministre et l'ambassadeur itinérant des Etats-Unis pour la liberté religieuse ont permis de "mettre en avant les efforts des autorités algériennes dans la protection du principe de liberté d'exercice des cultes garanti par la Constitution algérienne", a ajouté le communiqué.