Contrairement à ce qui est mentionné dans certains écrits tendancieux, dès le début de l'époque coloniale, qui décrivaient la Mitidja comme plaine infecte, inculte et inhabitée, plaine nue sans bois, occupée par des marais, des habitations éparses, (...)
Elle constituait le plus vaste verger d'Alger. Ceux-là mêmes, les colonisateurs français, qui la décrivaient ainsi, avaient compris très tôt «la fertilité de cette plaine».
Plusieurs géographes et historiens, tels le géographe arabe El Bekri au (...)