Il est paradoxal qu'un roman comme celui de Kamel Daoud puisse passer à peu près inaperçu en Algérie après avoir été couronné dans le monde.
Une tirade de 150 pages — en passe d'être traduite dans plusieurs langues — qui puisse tenir en haleine le (...)
Une tirade de 150 pages — en passe d'être traduite dans plusieurs langues — qui puisse tenir en haleine le lecteur, c'est la gageure que Daoud a relevée parce qu'il a écrit un livre dans un style remarquablement riche, rempli de colère et (...)