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KATCHOU enterré à CONDORCET :ADIEU L'ARTISTE!
Publié dans Batna Info le 12 - 08 - 2009

le défunt ALI NASRI alias KATCHOU a été enterré ce jeudi 13 août dans son village natal condorcet près de HAMLA dans la wilaya de BATNA en présence d'une foule nombreuse venue de tous les coins d'Algérie.
On notera la présence de plusieurs figures artistiques ainsi que la présence du ministre KHOUDRI du secrétaire général du ministère de l'intérieur M.OUALI ABDELKADER ;visiblement trés touché;du wali de Batna M.BOUAZGHI ABDELKADER qui a interrompu son congé pour assister aux obsèques, et tant d'autres figures du milieu culturel à l'image de BENTORKI LAKHDAR.
BATNAINFO a appris de source sure qu'un hommage au défunt KATCHOU a été prévu le soir à partir de DJEMILA où se déroule le festival de la chanson arabe.
les proches et les amis du regretté ALI NASRI étaient présent en force pour consoler un tant soit peu les fils du chanteur décédé qui étaient très peiné suite à la perte tragique de leur père.
les auressiens garderont de lui une image d'un personnage symphatique .
imadghassen.A
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La scène artistique endeuillé par la perte de Katchou
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[Aps 14/8/09] BATNA – La scène artistique nationale et particulièrement auréssienne est en deuil après la mort subite mercredi suite à un accident de la circulation de la star de la chanson chaouie Katchou, de son vrai non Ali Nasri, qui aura laissé derrière lui une oeuvre composée de 14 albums inspirés tous du patrimoine musical local.
Né en 1963 dans la daïra d'El-madher au sein d'une famille conservatrice de la tribu des Ouled Chelih, Katchou a montré dès sa jeune enfance un penchant profond pour la musique et le chant, affirment tout ceux qui l'avaient connu et côtoyé. Tout enfant, il fredonnait, ajoutent-ils, les chansonnettes populaires de la région qui devaient par la suite imprégner tout son art en dépit des innovations qu'il y introduit. Demeuré modeste et proche des gens, il fut à l'origine de la découverte et l'encouragement de plusieurs jeunes talents.
Katchou qui a laissé derrière lui une femme et trois enfants choisissait toujours des paroles ”corrects” pour ses chansons à l'exemple de son tube à succès “Nouara”, “Hemi hemi” et “Agoujil” (l'orphelin).
C'est par cette dernière chanson que Katchou débuta son parcours artistique dans les années 1980 au sein de la troupe Faziri aux côtés de l'artiste Salim
Souhali.
Chanteur incontournable des festivals de musique en Algérie mais aussi à l'étranger, Katchou ambassadeur par excellence de la chanson chaouie moderne a même chanté dans la mythique salle parisienne de l'Olympia.
Surpris par l'appel du destin, le défunt chantre du patrimoine musical auréssien préparait un nouvel album qu'il voulait “innovateur” ainsi qu'une opérette sur la vie du feu colonel Haj Lakhdar, un des chefs de la guerre de libération dans les Aurès.
Katchou a également participé à l'opérette “El-waâda” ainsi qu'à la caravane artistique nationale partie vers les lieux saints de l'islam. Investisseur agricole, il avait en outre lancé un projet de tourisme environnemental de concert avec le parc national de Belezma.
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Une grande foule accompagne Katchou à sa dernière demeure à Hamla (Batna)
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Katchou enterré dans sa ville natale
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La star algérienne de la chanson chaouie Katchou, de son vrai nom Ali Nasri, a été accompagnée hier par une grande foule à sa dernière demeure au cimetière du village de Hamla, situé à 15 km à l'ouest de Batna.
Ont assisté aux funérailles de cet artiste, aux côtés de ses proches, le secrétaire général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, Abdelkader Ouali, les autorités locales civiles et militaires, le directeur de l'Office national pour la culture et l'information (ONCI) ainsi que de nombreuses personnalités et artistes connus sur les scènes locale et nationale. Selon des sources concordantes, quelque 5000 personnes sont venues même des wilayas voisines, à savoir Biskra, Khenchela et Oum El Bouaghi, assister hier après-midi à l'enterrement. La radio locale de Batna a cessé ses émissions ordinaires pour donner l'occasion, en direct, aux fans et admirateurs de l'artiste de présenter leurs condoléances à ses proches et à la famille artistique nationale.
Katchou avait, rappelle-t-on, rendu l'âme à l'hôpital de Aïn Touta suite à une hémorragie au niveau de la tête et des membres inférieurs provoquée dans un accident de la circulation routière, survenu mercredi vers 18h30 sur le tronçon Batna-Aïn Touta de la RN3, près de la Carrière géante, selon ses proches. Le corps du défunt, fauché par la mort à l'âge de 46 ans, a été transporté jeudi matin vers sa maison à la cité Kéchida, Batna, puis vers son domicile familial au village de Hamla dont la mosquée devait abriter l'accomplissement de la prière de l'absent.
Par APS 14/8/09
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Mort tragique du chanteur KATCHOU
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la nouvelle tragique du décés de KATCHOU chanteur chaoui a été rapporté par la télévision nationale.
la fin tragique du chanteur KATCHOU a eu lieu lors d'un accident de la circulation près de AIN TOUTA,suite à la collision de la RENAULT SCENIQUE que conduisait le défunt avec un camion de gros tonnage qui s'en allait entrant à la carrière étatique se trouvant sur cet axe désormais surnommé par les habitants de BATNA et AIN TOUTA “l'axe de la mort”,ce qui pose encore une fois l'obligation de trouver une solution a ces “dérapages”continu suite à l'existence même de plusieurs points de passage souvent crées par les camionneurs eux mêmes et tout cela sur une voie rapide (double voies communément appellée autoroute) selon les premières informations recueillies par BATNA INFO en fin d'après midi(20 heures) de ce mercredi.
KATCHOU de son vrai nom ALI NASRI a été évacué sur le CHU de BATNA(HOPITAL DE ain touta) dans un état grave et n'a pas survécu à ses
blessures. Il laisse une veuve et deux enfants.
sa dernière apparition publique a été le festival de DJEMILA par contre malgré son abscence au festival de TIMGAD il a eu un geste apprécié envers le commissaire du festival notamment en lui offrant un burnous chaoui.
notre rédaction a reçu des appels de sympathie de Sétif et de partout.
dès que la télévision nationale et la radio ont annoncé cette nouvelle tragique .
que Dieu accorde sa miséricode et accueille le défunt en son vaste paradis
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condoléances.
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le président de la fondation auressienne des sciences arts et culture a appris avec émotion la mort tragique du chanteur ALI NASRI plus connu sous le nom de KATCHOU :présente à sa famille et à tous ses fans et amis ses sincères
condoléances et les assure de sa symphatie.
ina lillah oua ina ilyhi rajioun”
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Décès mercredi, en fin d'après-midi, dans un accident de la circulation de la star algérienne de la chanson chaouie
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Le chanteur Ali Nasri, plus connu sous le nom de “Katchou”, est décédé, mercredi dernier, dans un accident de la circulation sur l'axe routier reliant Aïn Touta à Batna, a-t-on appris auprès de sa famille. Selon la même source, le chanteur rentrait de la ville de Aïn Touta à bord de son véhicule de type Renault Scenic quand il a été surpris dans un virage par un camion semi-remorque qui a heurté sa voiture. Son compagnon, qui était à bord du même véhicule, est hospitalisé à Aïn Touta dans un état jugé très grave. La victime a rendu l'âme à l'hôpital de Aïn Touta et sa dépouille a été transférée à la morgue de cet établissement hospitalier où elle y restera jusqu'à son enterrement prévu hier au cimetière de Batna, précise la même source. Né en 1963 à Batna, Ali Nasri est marié et père de trois enfants.
La star algérienne de la chanson chaouie Katchou de son vrai nom Ali Nasri a été accompagnée hier, à sa dernière demeure au cimetière du village de Hamla, situé à 15 km à l'ouest de Batna, par une grande foule.
Ont assisté aux funérailles de cet artiste aux côtés de ses proches, le secrétaire général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités Locales, M. Abdelkader Ouali, les autorités locales civiles et militaires, le directeur de l'Office national pour la culture et l'information (ONCI) ainsi que de nombreuses personnalités et artistes connus sur les scènes locales et nationales.
Selon des sources concordantes, ils étaient quelque 5.000 personnes venues même des wilayas voisines de Biskra, Khenchela et Oum-El-Bouaghi assister jeudi après midi à l'enterrement.
La radio locale de Batna a cessé ses émissions ordinaires pour donner l'occasion, en direct, aux fans et admirateurs de l'artiste de présenter leurs condoléances à ses proches et à la famille artistique nationale.
Katchou avait, rappelle-on, rendu l'âme à l'hôpital de Ain Touta suite à une hémorragie au niveau de la tête et des membres inférieurs provoquée dans un accident de la circulation routière, survenu mercredi vers 18h 30 sur le tronçon Batna-Ain Touta de la RN-3, près de la Carrière géante, selon ses proches.
Le corps du défunt, fauché par la mort à l'âge de 46 ans, a été transporté hier, matin vers sa maison à la cité Kéchida de Batna puis vers son domicile familial au village de Hamla dont la mosquée devait abriter l'accomplissement de la prière de l'absent.
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La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, exprime sa “grande émotion et sa profonde tristesse"
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“J'ai appris avec une grande émotion et une profonde tristesse la disparition du chanteur Katchou à la suite d'un tragique accident de la circulation dans la wilaya de Batna, le mercredi 12 août 2009. Avec la disparition de Katchou (à l'état civil Nasri Ali), la culture algérienne perd un artiste de talent qui s'est entièrement consacré à l'art musical, le servant avec fougue, savoir-faire et abnégation depuis une vingtaine d'années. Katcho a choisi volontairement un nom d'artiste qui signifie «chêne» en chaoui, car ses productions, orchestrées et interprétées au goût du jour, étaient profondément enracinées dans le patrimoine culturel ancestral, ce qui a fait de lui un interprète adulé par un public de tous âges.
En cette douloureuse circonstance, je m'incline à la mémoire de cet artiste qui nous quitte prématurément.
Je présente, au nom de tout le personnel du ministère de la Culture et en mon nom propre, mes condoléances les plus attristées à son épouse et à ses enfants, sa famille, à ses amis ainsi qu'à toute la grande famille des artistes algériens, les assurant de ma profonde sympathie.
Qu'Allah accueille Katcho dans Son Vaste Paradis.
A Allah nous appartenons et à Lui nous retournons."
Khalida Toumi
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Festival arabe de Djemila : Hommage à Katchou, le cavalier des Aurès
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Houria Aichi : “Nous vivons et nous mourons !"
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“Nous vivons et nous mourons ! Un des nôtres est parti ce soir, c'est triste, mais la vie continue et la création doit aussi continuer”. Houria Aicha, l'enfant des Aurès qui est venue à Djemila pour chanter les fiers cavaliers de cette région, fait longuement dans le silence et déchire de sa voix tranchante le ciel de Cuicul, pleurant sans doute Katchou, cet autre enfant des Aurès, mais portant courageusement le message de la vie, car comme le dira quelques minutes auparavant Djalel, visiblement très affecté par cette nouvelle d'un ami qui n'est plus là : “On ne peut pas se révolter contre la volonté de Dieu!”
Ce soir, la nouvelle du décès de Katchou est tombée telle un couperet ici sur le site de Djemila qui succombe subitement dans un climat de consternation et affecte terriblement et ceux qui l'ont connu et ceux qui l'ont seulement entendu.
Dans l'arrière-scène , jusque-là, chaque soir animée par mille et un ingrédients de chaude ambiance, c'est un silence profond qui plane sur cette mort subite d'un jeune artiste qui aimait la vie et que la mort a subitement décidé d'arracher au cœur même de ces fières montagnes des Aurès qu'il a chantés plus d'une fois, fier de le faire partout où il se produisait.
Le programme de la soirée accuse un retard important et Nahila Mohamedi, la responsable de l'ONCl cloîtrée dans un coin de nuit, cherche sans doute la meilleure façon par laquelle pourrait être rendu à Katchou le plus beau des hommages. “Nous l'avions programmé pour cette cinquième édition du festival de Djemila, mais il s'est désisté, affirmant qu'il ne pouvait malheureusement pas y assister”, lance-t-elle au passage en s'enfonçant de plus en plus dans un silence qui incarnait le sentiment de tous ceux nombreux qui ont connu et reconnu Ali dans ses prestations multiples, mais aussi dans sa vie, humble, discret, sympathique et disponible, entonnant des refrains de ses ainés Ahna Chaouia.
Sous cette kheïma, qui retenait à peine l'eau de la pluie violente qui s'abattait l'avant-veille sur ce site, tout le monde est là, journalistes, artistes, responsables du festival, les uns accrochés à leur portable et relatant à leurs rédactions respectives cette ambiance pas très gaie qui régnait à Djemila, et les autres abattus, ne sachant pas quoi dire, y compris cette chanteuse libanaise, Carole Sagr, qui ne pouvait survivre à un tel moment de recueillement.
La vedette libanaise, venue pour la première fois pour participer au festival arabe de Timgad, n'oubliera pas d'ailleurs de signifier sa tristesse quand elle accédera sur la scène de Cuicul.
“Je dédie ce concert à Katchou, à sa famille et ses enfants et lui dit que maintenant il est entre de bonnes mains”, lance-t-elle, au cour de son tour de chant qui ne manquera pas de redonner à la vie sa juste place et entraîner dans toutes ces belles mélodies, le public qui a pris place sur l'esplanade et oublie soudainement la mort pour laisser place a la vie.
Carole chante Ahkili Ahkili, Tikram Ayounek et rend hommage à l'autre grande vedette libanaise Fairouz, entonnant Saalouni Aleik et Nesem Aleina el hawa , comme pour mieux apprécier et mieux vivre ce merveilleux décor d'un site qu'elle ne cessera pas de vanter.
Houna Aichi, qui ouvre ce soir le spectacle est venu avec un concert, une idée, celle de faire se frotter cette musique traditionnelle du monde de son enfance avec la musique contemporaine. Cinq musiciens venus de Strasbourg l'accompagnent, alors que sa voix déchire ce silence profond d'un public admiratif et chante toutes ces voix de ses aînés, de son nouveau spectacle Les cavaliers de 1′Aurès, qui lui a déjà valu un grand succès à Alger et qu'elle raconte, emportée pat le flot de ces multiples souvenirs qui l'innondent.
Dans cette attention, brisée de temps à autres par de vibrants youyous, notre professeur à la Sorbonne chante, fait aussi un clin d'œil aux Sétifiens et reprend merveilleusement bien tous ces couplets de “sraoui” qui ne laissent pas indifférent le public qui a applaudi à ne plus en finir.
Alors que Djalel, accompagné des deux hôtesses, s'apprête à lui remettre l'arc de Caracalla et le bouquet de fleurs, Houria demande encore une minute et lance au micro : “Monsieur le wali , je vous en supplie, faites que ce merveilleux paysage de Djemila le soit le plus longtemps possible.”


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