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L'Italie révise la politique des visas après une protestation de l'Algérie Accord entre Alger et Rome sur la nécessité « d'aides humanitaire pour la Syrie »
Le ministre italien des Affaires étrangères a annoncé que son pays révisait actuellement les procédures dont ont fait l'objet les algériens ayant obtenu le visa, et ce en réponse à la protestation officielle algérienne, le ministre italien n'a pas réfuté que son pays ait demandé de l'aide pour préserver la vie des deux otages italiens détenus pas « Al-Qaïda au Maghreb Islamique », ce à quoi Medelci à répondu que « nous allons mettre notre expérience dans la lutte anti-terroriste au service de nos partenaires et nombreux sont ceux qui demandent notre aide parmi les pays voisins ou du sahel ». Les questions politiques ont été au centre de la première visite du ministre italien des AE, Giulio Terzi di Sant'Agata, qui est arrivé hier à Alger, accompagné de dix chefs de plus importante entreprises italiennes qui activent dans les domaines des hydrocarbures, mais des questions sécuritaires et politiques étaient également présentes, dont le sort des deux otages italiens enlevés au sahel africain il y a des mois, les visions des deux parties se sont accordés sur certains nouveaux développements en Syrie, dont l'envoi d'aides humanitaires d'urgence. Interrogé hier lors d'une conférence de presse commune avec le ministre des AE, Mourad Medelci au siège du ministère à Alger hier sur la réaction de son pays à la protestation officielle algérienne sur la mesure spéciale de contrôler les algériens après leur séjour en Italie, Giulio Terzi di Sant'Agata a déclaré qu' « actuellement nous travaillons à la révision de cette politique dont le but était seulement des vérifications pour les citoyens étrangers qui visitent le pays et de savoir comment sont utilisés les visas et les délais de séjour ». Le ministre italien des AE n'a d'un autre coté par réfuter que son pays ait demandé l'aide des autorités algériennes pour la libération des deux otages italiennes détenus par « Al-Qaïda au Maghreb Islamique » dans une région du nord du Mali, et a indiqué la préoccupation de son pays au sujet de l'activité de la nouvelle organisation au sahel africain, c'est-à-dire « le mouvement de l'unification et du Djihad en Afrique de l'ouest », et a précisé que son pays avait demandé aux autorités algériennes de « contribuer à préserver la vie des deux otages », un italien et son épouse enlevés par « Al-Qaïda au Maghreb Islamique », et a annoncé dans ce contexte que son pays était « vivement » opposé au paiement de rançons à des groupes terroriste qui détiennent des otages « ce qui constituerait un financement direct ou indirect des groupes terroristes ou du crime organisé », et a dénoncé dans ce contexte l'attaque terroriste contre le siège de la gendarmerie à Tamanrasset il y a un mois. Medelci a répondu positivement à la demande sans donner de détails, et déclaré que « nous essayons de mettre notre expérience dans le domaine de la lutte antiterroriste au service de nos partenaires et nombreux sont ceux qui demandent notre aide parmi les pays voisins ou du sahel africain », Medelci a de nouveau reprocher à la communauté européenne « qui a laissé l'Algérie lutter seule durant les années 90 un terrorisme aveugle mais le peuple algérien et l'armée ont su tourner la page ». Dans le dossier syrien Medelci a indiqué « qu'il y a des chances que nous voyions dans les prochains jours la possibilité de faire entrer des aides humanitaires pour le peuple syrien peut-être pas dans les meilleurs conditions mais acceptables ».