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L'Algérie annonce le gel de fonds d'organisations étrangères soupçonnées d'être liées au terrorisme Le ministre de la justice assure que l'Algérie n'a rien à cacher concernant l'assassinat des moines de Tibhirine
Le ministre de la justice Tayeb Belaiz a assuré que l'Algérie avait gelé les fonds d'organisations internationales soupçonnées de liens avec le terrorisme, et a renouvelé l'appel de l'Algérie à organiser une conférence internationale sur le terrorisme et son financement, et pour trouver une définition exacte du terrorisme ». Le ministre a indiqué que l'Algérie n'avait rien à cacher concernant l'affaire de l'assassinat des moines français de Tibhirine. Le ministre de la justice Tayeb Belaiz a annoncé le gel par l'Algérie d'avoirs financiers d'organisations étrangères soupçonnées de liens avec le terrorisme, Belaiz a déclaré répondant à une question d'El Khabar sur le fait de savoir si l'Algérie avait déjà gelé les fonds d'organisations classées comme terroristes ou d'organisations internationales activant en Algérie que « l'Algérie a déjà gelé des fonds d'organisations étrangères et nous avons demandé une commission rogatoire à tous les Etats, notamment à la Suisse et des actions sont en cours avec les magistrats concernant cette question » , le ministre a assuré qu'il y avait des différences dans la définition du terrorisme » et a déclaré qu'il n'existe pas de définition précise du terroriste en tant que personne ou groupe terroriste" et a précisé que l'Algérie "avait appelé à plusieurs reprises à l'organisation d'une conférence internationale pour trouver une définition exacte du terroriste et du groupe terroriste, mais la conférence n'a pas jusqu'à présent pas été organisé ». Le ministre de la justice a dans un autre contexte déclaré en réponse à une question d'El Khabar en marge d'une séance du parlement concernant la demande d'une commission rogatoire adressée par le juge français dans l'affaire de l'assassinat des moines de Tibéhirine, « je répète ce qu'a dit le premier ministre Ahmed Ouyahia que, l'Algérie n'avait rien à cacher dans cette affaire », mais le ministre de la justice n'a pas précisé si l'Algérie avait accepté ou refusé la demande de venir du juge français.