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La justice enquête sur l'affaire et la diplomatie reçoit un rapport démentant la tentative d'entrée par effraction Après une tentative présumée d'intrusion du siège de la commission européenne dans la capitale
Le procureur de la république près le tribunal de Bir Mourad Rais, enquête sur les allégations des responsables au siège de la commission européenne en Algérie, au sujet d'une tentative présumée d'infiltration d'individus non identifiés au moi de janvier dernier, mais la justice reçoit des données contredisant la version de la commission et qui indiquent l'absence de toute preuve matérielle d'une tentative présumée d'intrusion, et corroborées par la version du gardien de la société de gardiennage. Le procureur de la république près du tribunal de Bir Mourad Rais tente de lever le voile sur ce qui est arrivé dans la nuit du 6 au 7 janvier dernier, au siège de la commission européenne au Val d'Hydra dans la capitale, entre la version des responsables de la commission, et une autre version de l'agent de la société de gardiennage privée qui assure la sécurité du siège, l'auteur de la seconde version a fourni au ministère des AE des données qui ne correspondent absolument pas aux allégation de la commission qui avait à son tour adressé au services du ministère des AE un rapport sur « une tentative d'intrusion ». L'agent de sécurité (K.B) indique dans une correspondance au ministre des affaires étrangères Mourad Medelci que « je suis persuadé de par l'exercice de mes fonctions qu'il n y a eu aucune tentative d'intrusion », et explique que « lors de l'exercice de mes fonctions dans la nuit du 6 au 7 janvier le chef de la sécurité de la société (gardiennage) qu'il y avait une tentative de d'intrusion au siège de la commission mais je n'ai constaté aucune tentative d'intrusion ». Les responsables de la commission européenne ont déposé une plainte contre X auprès des services de police, et que ceux-ci ont entendu les déclarations des agents de sécurité de la société de gardiennage privé, dont certains ont approuvé la version alors que deux autres l'ont réfuté, il semble que les enquêtes approfondies sont arrivées à la conclusion qu'il « n ya aucune preuve matérielle » appuyant ce qui a été écrit dans le rapport élaboré par un des responsables de la société de gardiennage privé, alléguant que deux personnes ont tenté d'escalader le mur pour s'introduire dans le siège de la commission ».