Shariket Kahraba Terga à 5% A la faveur de la signature d'une convention portant sur l'embauche au niveau du chantier de la future Shariket Kahraba Terga (SKT), le chef de ce projet, Jean-Louis Pujol, a indiqué que les travaux sont à 5% de taux d'avancement. La convention en question lie la CIA, une filiale d'Orascom, la formation professionnelle et l'agence de l'emploi, cela, de façon que le recrutement profite prioritairement aux demandeurs habitant la région. Pour rappel, la future SKT en joint-venture Sonelgaz-Sonatrach sera la première à cycle combiné KA26 en Algérie et en Afrique. Sur le site de réalisation de cette centrale électrique, après les travaux de terrassement, les installations temporaires sont en cours d'édification. Ces équipements sont ceux qui seront démontés à la fin du chantier mais qui sont indispensables pour la conduite des travaux. Ainsi, les bureaux et diverses dépendances ont été édifiés alors que le camp devant abriter 2000 employés peut déjà en accueillir 800. Quant aux installations permanentes, elles commenceront à être effectives à partir du 7 novembre pour être livrées en totalité 15 mois après. Et en comptant à partir de décembre dernier, a indiqué M. Pujol, il faudra 47 mois pour la mise en service de l'usine. Composée de trois unités KA26-1 de 400 MW chacune, soit un total de 1200 MW, la station électrique sera réalisée par Alstom, le géant français dans les infrastructures d'énergie et de transport ferroviaire. Cependant, la centrale sera opérationnelle trois mois auparavant, le laps de temps réservé à la période des essais et durant lesquels 400 MW seront livrés sur le réseau Sonelgaz. A la remise des clefs à SKT, en septembre 2011, 14 hectares auront été bâtis et 82 autres demeureront pour une éventuelle extension. Témouchent se souvient de Zenagui Benzemra Feu Zenagui Benzemra n'était pas un notable de la ville. Il était au contraire un sans grade. Cependant, l'homme était loin d'être l'anonyme personnage qu'on pourrait croire. Il jouissait auprès de ses concitoyens de tous âges et de toutes conditions d'une rare considération. Bien des notables et autres politiques auraient donné cher pour bénéficier de la sympathie qu'il suscitait autour de lui. Lors du séisme qui avait ébranlé la ville, sinistré parmi les sinistrés, il sut être à leur service et un de leurs représentants. Boute-en-train, ami de tous, en particulier des gens de la presse, sa bonhomie n'empêchait pas chez lui le franc-parler de s'exprimer. Et sans être donneur de leçons, comme il savait marquer le respect à ceux qui l'imposent, il ne se gênait pas de dire leur fait à ceux qui s'écartaient de l'éthique. Cet ami des sportifs, coqueluche du stade « Embarek-Boucif », n'a pas été oublié à l'anniversaire de sa mort. De toutes les cités, on s'est organisé pour célébrer sa mémoire au stade Lahmar, un terrain voisin du lycée « Bachir-Ibrahimi ». Ainsi, de très disputés et suivis inter quartiers engageant pas moins de 38 équipes ont commencé il y a une semaine pour durer tout un mois en solidarité avec la famille du défunt.