Le retard enregistré pour la réalisation d'une trémie, toujours à l'état de chantier, a pour conséquence une circulation urbaine infernale à Boufarik. Que ce soit au centre-ville ou en périphérie, les bouchons s'intensifient. Les automobilistes qui, auparavant, empruntaient le chemin de wilaya112 pour se rendre à Soumaâ, actuellement fermé, sont tous obligés de se diriger vers l'ouest de Boufarik et de là, soit utiliser l'autoroute en déviant par Beni Mered, soit passer par des routes étroites et défectueuses longeant les localités de Halouya et de Guerouaou. Les services de l'ordre, soumis à rude épreuve, pénalisent par l'utilisation des sabots tous les automobilistes qui stationnent sur la route principale de la ville. Les bus publics et privés de transport en commun, concentrés sur les lieux de la déviation, rendent encore la circulation plus difficile. Et ce n'est pas fini : les chauffeurs de taxi dont la station est juste à côté, s'engouffrent aussi dans la mêlée. Alors tout le monde espère que la trémie soit réalisée dans les délais.