La direction des travaux publics de la wilaya de Bouira a multiplié ces derniers mois, la réalisation des ronds-points à travers les sorties des grandes villes, notamment celle de Bouira. Sans nul doute, l'implantation de ces sens giratoires est inscrite dans l'objectif de réduire les accidents de circulation et aussi un appui pour la fluidité de la circulation routière. Cependant, Et d'un autre côté, comment ne pas implanter des sens giratoires sur les chemins menant vers les communes rurales, à l'instar de Taghzout, où les automobilistes doivent s'armer de vigilance pour éviter des accidents mortels, notamment à la déviation vers le chef-lieu communal. Idem, le constat est flagrant où de nombreux ronds-points demeuraient privés de l'éclairage public, ce qui constitue un danger de mort pour les automobilistes. C'est le cas des circulaires réceptionnés il y a de cela un mois à l'entrée de la commune d'El Hachimia où il y a trois sens giratoires non dotés de cet équipement. En effet, des usagers ont soulevé le problème lors du déplacement du wali de Bouira dans la région, ce dernier et comme à l'accoutumée a trouvé la bonne formule, celle d'une promesse, mais non tenue. C'est dire que, malheureusement, en Algérie il faut attendre que l'irréparable se produise pour que nos responsables réagissent. D'autre part, faut-il noter que la population continue de réclamer le bitumage des routes, dont les projets sont déjà octroyés mais non encore lancés à ce jour, à l'image du revêtement du chemin de wilaya reliant les trois communes de Dirah, Maâmoura et Dechmia, pour ne citer que celui-là.
