Des salariés licenciés par une entreprise étrangère à Khenchela Trois employés du Consortium sud-coréen GS/Daelim, chargé de la construction de la centrale électrique de Kaïs, à 30 km au nord du chef-lieu de wilaya, Khenchela, ont reçu leurs lettres de licenciement, après avoir participé à un mouvement de protestation pacifique pour dénoncer leurs conditions de travail décrites comme «intolérables», a-t-on appris auprès d'un représentant des travailleurs. «Nous sommes face à une grave violation du code du travail, des ouvriers sont licenciés en raison de leur participation au mouvement de protestation, même les agents de sécurité ont reçu des instructions strictes pour les empêcher d'entrer à l'entreprise. C'est honteux ce qui arrive !», a expliqué le syndicaliste. Leur avocat prévoit de déposer dans les prochains jours une requête au tribunal du travail, a indiqué notre interlocuteur, ajoutant que «trois autres employés ont reçu des avis les informant que leurs contrats ne seront pas renouvelés». Selon les représentants des travailleurs, «le nouveau responsable coréen, qui a été récemment nommé à la tête de l'entreprise, n'a pas assumé ses obligations comme convenu avec les travailleurs, sous la supervision de l'inspection du travail». 54 morts et 1929 blessés dans des accidents de la route en une semaine Cinquante-quatre personnes ont trouvé la mort et 1929 autres ont été blessées dans 1514 accidents de la circulation enregistrés au niveau national durant la période du 22 au 28 juillet, selon un bilan de la Protection civile rendu public hier. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj, avec quatre morts et 24 blessés, suite à 54 accidents de la route, note la même source. Par ailleurs, les éléments de la Protection civile ont effectué 3967 interventions et procédé à l'extinction de 3 265 incendies urbains, industriels et autres, ajoute la même source. Les effectifs des journaux américains ont baissé de 45% depuis 2008 Le nombre de journalistes employés par des titres de la presse américaine a baissé de 45% depuis 2008 et le mouvement ne montre aucun signe de ralentissement, révèle une étude publiée lundi par l'institut indépendant Pew Research Center. Selon l'étude, appuyée par des chiffres publiés par le ministère américain du Travail, les effectifs des journaux sont passés de 71 000 en 2008 à 39 000 fin 2017, une décennie ainsi marquée par la suppression de plus de 30 000 postes. L'information radio a également souffert, perdant plus d'un quart de ses troupes (-27%), même si leur nombre était bien moindre que celui des journaux au départ (4600 journalistes). La période a été bien plus favorable à la télévision, qui a vu ses effectifs quasiment inchangés (28 000 personnes), selon la même étude. Le nombre de journalistes officiant pour des sites d'information en ligne (non associés à un titre papier) a, lui, quasiment doublé, passant de 7000 à 13 000, mais sa progression n'a pas suffi à compenser la purge qu'ont connue les journaux dans le même temps. Le cri d'alarme de Mohamed Ramzi Souici Mohamed Ramzi Souici est un adolescent de 19 ans qui souffre depuis son très jeune âge de nombreuses maladies, qui l'ont fortement affaibli et réduit sa mobilité. Mohamed Ramzi est épileptique. Présentant également une scoliose dorsale, il est cardiaque et souffre de difficultés respiratoires, en plus d'accuser un retard mental. Il est handicapé à 100%. Son état de santé nécessite une prise en charge à l'étranger, d'après tous les médecins qui ont eu à le traiter. Ce que les parents ne peuvent lui assurer en raison de la vie précaire qu'ils mènent. Son père, Abdelhalim Souici, touche à peine 9000 DA par mois et trouve déjà toutes les peines du monde à subvenir aux besoins de sa famille composée de cinq personnes. Les parents, qui ont frappé à toutes les portes depuis des années, souhaitent une prise en charge à l'étranger pour tenter de sauver leur enfant et éviter que sa santé ne se dégrade encore plus. Et pour cela, ils espèrent récolter des fonds pour pouvoir envoyer leur enfant se soigner à l'étranger. Pour toute aide, veuillez prendre contact avec les parents au 0662 37 86 72.