Pourquoi décaper le macadam d'une route et ensuite laisser celle-ci en l'état pendant 5 mois sans la moindre intervention ? La première opération a touché la rue Lakehal Tahar, tronçon débouchant sur une école primaire, un lycée et la cantine principale, qui a été « labouré » une semaine avant la rentrée scolaire. Quelques semaines plus tard, c'est au tour d'une partie du boulevard Front-de-mer qui connaîtra le même sort, obligeant le déplacement du souk hebdomadaire vers les cités urbaines ; ce qui occasionnera d'énormes désagréments aux habitants et de gros problèmes de circulation automobile au niveau de ces cités envahies par ce souk tentaculaire. Y a-t-il eu urgence pour décaper ces routes importantes pour la circulation automobile et piétonne ? Apparemment non, vu qu'elles ont été abandonnées. La question qui se pose est la suivante : ces entreprises ont-elles eu des autorisations pour décaper les routes, et intervenir des mois après ? Une préoccupation qui mérite des éclaircissements.