La Confédération africaine de football (CAF) a programmé un renouvellement partiel du Conseil (ex-Comité exécutif) en 2019. Des places seront libérées au niveau des 6 zones pour pourvoir à celles qui seront vacantes. Pour rappel, au début de l'année en cours, il y a eu des élections partielles pour compléter le conseil à la lumière des nouveaux statuts de la CAF qui ont mis fin au cumul de dirigeants africains qui faisaient partie, en même temps, du conseil de la FIFA et de la CAF. Dans la zone UNAF (Algérie, Maroc, Tunisie, Egypte, Libye) une place était en jeu après la fin de mandat de l'Algérien Mohamed Raouraoua représentant de cette zone avec le Marocain Faouzi Lakjaa dont le mandat court encore pendant 2 ans. C'est le Libyen Djamel Djaafri qui a remplacé Mohamed Raouraoua pour le reste du mandat après le rejet de la candidature de l'Algérien Bachir Ould Zmerli, parvenue hors délai à la CAF. A présent, la FAF dispose de plus de temps pour décider si elle présentera, ou pas, un candidat à l'élection en 2019. Si c'est le cas, il faut s'y prendre dès à présent pour lui permettre de faire sa campagne et ne pas attendre jusqu'à la dernière minute pour se manifester. C'est une opportunité pour que l'Algérie, à travers le candidat de la FAF, réintègre le conseil de la CAF.