Ce goulot d'étranglement est dû, entre autres, à la prolifération tous azimuts de commerces informels exercés à même les accotements ainsi qu'aux stationnements anarchiques des propriétaires de camionnettes de fruits et légumes. A ce désordre quotidien, se greffe le stationnement en deuxième position de clients, qui ajoute un peu plus d'anarchie sur ce tronçon, réputé pourtant très dangereux, en raison de la cascade d'accidents qu'il ne cesse d'enregistrer avec son lot de comptabilité macabre. Les riverains n'en peuvent plus de cette situation et craignent énormément pour la sécurité de leurs enfants, obligés d'emprunter la chaussée au milieu des automobilistes.