-Est de la capitale : Les marchands informels gênent la circulation Le tronçon de route qui relie la localité de Dergana à Rouiba est obstrué par les vendeurs informels qui installent leurs marchandises sur le bas-côté de la route. Résultat : un goulot d'étranglement se forme à cet endroit et oblige les automobilistes à ralentir, créant ainsi, à longueur de journées, des embouteillages. Plusieurs ralentisseurs ont été également installés sur cette route à la faveur de cette activité commerciale illicite. Les automobilistes obligés de ralentir pour franchir les dos-d'âne, sont interpellés par les cris des marchands qui les hèlent pour acheter leurs marchandises. «Cet endroit est devenu un véritable souk ! Si, au moins, les marchands respectaient les lieux en ramassant leurs ordures dans les espaces qui les entourent, d'autant qu'il s'agit de terres agricoles», raconte un automobiliste. A quelques encablures, sur le prolongement du même tronçon, en allant vers Aïn Taya, d'autres marchands occupent illicitement le bas-côté de la route. A quelques kilomètres de l'entrée de la ville de Aïn Taya par le nord, ces marchands occupent le moindre espace vide, squattant souvent la chaussée et obligent les automobilistes à ralentir pour passer sur la seule voie inoccupée par leurs camionnettes remplies de fruits et légumes. -Aïn Taya : L'eau des robinets impure A Suffrène, dans la commune de Aïn Taya, la qualité de l'eau des robinets est douteuse. Les habitants de ce quartier qui se situe à l'entrée de la ville, ont été surpris, hier, de constater que l'eau avait une couleur marron. Aussi, ils se sont abstenus de la boire et ce, en attendant d'avoir des explications. «Nous n'avons même pas été prévenus par la Seaal, afin de prendre nos dispositions», fulminent les habitants du quartier. «Il est quand même question de notre santé et de celle de nos enfants» ajoutent-ils.