Pour le Ramadhan, la maison de la culture Nouar Boubakeur, avec la collaboration de sa tutelle, a concocté un riche programme d'animation culturelle. La nouvelle salle des fêtes inaugurée à l'occasion du cinquantenaire de la révolution de 1954, accueille chaque soir des troupes artistiques et de théâtre, ce qui fait la joie d'un jeune public, sevré depuis longtemps de culture et de manifestations théâtrales et musicales. Malheureusement, tout est centré à Oum El Bouaghi, laissant les autres grandes cités, telles Aïn M'lila et Aïn Beïda, broyer du noir faute de festivités. Est-ce à dire qu'il n'y a que le chef-lieu de wilaya qui aspire à vivre un Ramadhan coloré d'agréables et utiles soirées culturelles ?