Arrestation de deux falsificateurs Deux personnes répondant aux initiales M.A. et B.K. ont été mises en détention, dimanche, à Sidi Bel Abbès sous le chef d'inculpation de falsification de documents administratifs. Selon l'enquête diligentée par les services de police judicaire, les mis en cause ont majoré, sciemment, sur leurs relevés de notes respectifs, les moyennes annuelles obtenues lors de leur cursus universitaire. L'enquête a révélé que cette machination a permis aux prévenus d'accéder aux premières places d'un concours pour le recrutement d'enseignants. 13 clandestins marocains arrêtés par la police Treize immigrés clandestins de nationalité marocaine ont été interpellés, au début de la semaine en cours, par les services de police à travers différents quartiers de la ville de Sidi Bel Abbès. La plupart d'entre eux exerçaient dans le bâtiment comme plâtriers, a indiqué la police. Ils ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Sidi Bel Abbès qui a requis des peines de prison avec sursis à leur encontre, selon une source judicaire. Un garde communal se blesse accidentellement à Oued Taourrira Un garde communal se serait accidentellement tiré une balle de gros calibre au niveau du bassin, dimanche dernier à Oued Taourrira, daïra de Merine, a-t-on appris de source locale. Agé de 35 ans, le garde communal se trouvait à l'intérieur du détachement de Oued Taourrira, dit « El Khachba », localité située à 70 kilomètres au sud de la ville de Sidi Bel Abbès, où l'incident s'est produit. Evacué vers l'hôpital de Telagh, la victime a été transférée, lundi, vers l'hôpital militaire d'Oran pour des soins intensifs, vu la gravité de son état. Selon notre source, les jours de la victime ne seraient pas en danger. Une enquête a été diligentée par les services de sécurité pour déterminer les circonstances de ce drame. Confusion de sexe Un habitant de Sidi Bel Abbès répondant aux initiales S.Y. est, depuis quelque temps, en butte à une situation administrative inédite. En retirant l'extrait de naissance de son fils dénommé Djawad, 31 ans, il eut la désagréable surprise de constater que le document porte indument la mention « sexe féminin ». Pensant qu'il s'agissait d'une simple erreur de transcription, il fut, cependant secoué une seconde fois lorsqu'il remarqua, quelques jours plus tard, que l'extrait de naissance de son autre fils appelé Karim, âgé de 29 ans, portait également la mention « sexe féminin ». Considérant que l'erreur état de trop, il ne lui fallut pas plus pour aller réclamer à qui de droit la rectification des mentions portées sur les documents. Non encore remis de cette curieuse confusion de sexe, il fut offusqué lorsqu'il se vit répondre, tout bonnement, que la réhabilitation des mentions erronées figurant sur l'extrait de naissance doit passer impérativement par une procédure de jugement. M. A., M. H.