En effet, que de projets déboutés à cause de cet épineux problème de choix de terrain qui constitue un véritable casse-tête chinois pour l'administration locale ! Jugeons-en par ce nombre impressionnant d'infrastructures publiques qui auraient pu être érigées déjà, n'était ce goulot d'étranglement qu'est le foncier : une unité de la Protection civile, un cantonnement de la garde communale, un collège pour le secteur d'Aït Aïssa Ouzjane, une banque, des logements sociaux, un stade municipal…L'exiguïté foncière, dont souffre la municipalité de Maâtkas ainsi que celle de Souk El Tenine fait que tout développement d'infrastructures deviendrait aléatoire si l'on ne lève pas rationnellement cette contrainte. Certains suggèrent la révision des Plans directeurs de l'aménagement de l'urbanisme (PDAU) et le Plan d'occupation du sol (POS), d'autres proposent l'achat de terrains chez les particuliers, avant même toute tentative d'urbanisation nouvelle.