Le problème de stationnement au centre-ville se pose avec acuité. Celui-ci est ignoré par les responsables locaux n'ayant apparemment pas l'intention de prendre en charge cette question qui tracasse depuis longtemps les automobilistes. Placés entre le « marteau » de l'absence d'espace de stationnement et « l'enclume » des « gérants » de parkings virtuels, les automobilistes qui s'expliquent mal le silence radio des décideurs ne savent désormais à quelle porte frapper. Le sabot de la police guette tout automobiliste qui ose garer son véhicule à côté de la poste, au niveau de l'artère principale, à proximité du théâtre municipal jouxtant le siège de la daïra. Pour dénicher un petit espace, il est obligé de sillonner différents endroits de la ville qui « suffoque ». Ne se souciant apparemment guère des désagréments causés au citoyen et à son environnement, agressé par une pollution ayant atteint des pics au centre-ville, les gestionnaires de la cité vont-ils prendre en charge, et sérieusement, l'épineux volet du plan de circulation de la ville qui sommeille dans les tiroirs depuis des années ? Le projet du parking à étages en mesure de régler pas mal de problèmes et générer des emplois et de substantielles recettes sera-t-il réactualisé ? Une aussi grande agglomération qui ne dispose toujours pas d'un parking digne de ce nom… c'est une tare !