Interrogé sur les informations rapportées par des journaux suisses et selon lesquelles le président Bouteflika se trouverait dans ce pays pour des soins, Belkhadem a rétorqué sèchement : « Je ne suis pas le médecin du Président. Mais admettons qu'il soit parti, où est le problème ? » Bouteflika, selon Belkhadem, peut comme tout Algérien partir et venir. « Chacun de nous est exposé un jour à la maladie. La chose est ordinaire, pourquoi on en fait une chose politique », a-t-il souligné.