Une situation qui l'enfonce d'avantage dans le retard qu'elle accuse dans le cadre du développement local. En effet, le démarrage des travaux du projet d'implantation d'un CEM de base 4 accordé dans le cadre des PSD (Plan Sectoriel de développement) pour le village d'Ighrem, annoncé en grande pompe pour le début de l'année en cours à été renvoyé à une date ultérieure au grand dam de la population et des élèves de la localité en particulier qui sont actuellement scolarisés au niveau du CEM du chef-lieu communal. Le retard est dû, selon des élus locaux à l'opposition affichée par le propriétaires de la parcelle devant servir d'assiette à ce projet, en dépit de la décision prise par les services concernés de la wilaya de Bouira pour le lancement de la procédure de l'expropriation pour utilité publique. A l'instar de la commune de Chorfa, la municipalité d'Ahnif avait été destinataire au mois de juin dernier d'une enveloppe financière pour la réalisation d'une unité de la sûreté urbaine. Un projet inscrit dans le cadre du programme de redéploiement de ce corps de sécurité à travers la wilaya de Bouira. A ce niveau, le terrain d'assiette devant accueillir la bâtisse à été désigné par la commission des choix de terrain de la daïra de M'chedallah depuis le mois de juillet écoulé mais les travaux du projet tardent à voir le jour.
