A l'instar de beaucoup de régions du pays, Tiaret connue pour la rigueur de son climat et qui ne dispose que d'une seule piscine au chef lieu, reste une ville très appréhendée l'été par les jeunes en quête de fraîcheur qui continuent à se rabattre sur les lacs insalubres, les retenues collinaires et les barrages pour faire trempette. Une situation qui a entraîné neuf décès par noyade dont trois cas dans des puits. La piscine olympique qui continue de défrayer la chronique locale, est toujours en construction depuis 25 ans et n'est pas prête à voir le jour. En attendant, les jeunes n'ont que les oueds de la Mina et les lacs pour aller tenter la mort.