En effet, au niveau du chef-lieu de la commune, Souk El Had, l'artère allant du siège de l'APC en passant par devant le CEM des frères Ziane, sur la route menant au village agricole, est l'une des importantes voies publiques qui demeurent toujours sans revêtement. Ce chemin, fréquemment emprunté par les citoyens, n'a jamais été bitumé, constate-t-on. En période hivernale il devient carrément impraticable, de par l'importance de la boue qui le recouvre par endroits et des mares d'eau stagnante qui s'y forment. Comme c'est le cas également pour l'axe reliant le village agricole à Tikobaine, chef-lieu communal de Ouaguenoun, sérieusement dégradé. A Abizar, un village situé à une dizaine de kilomètres au nord-ouest du chef-lieu de Souk El Had, le chemin menant du lieudit Amiès (arrêt des fourgons de transport de voyageurs) vers Laâzib, Igounane, Ath Ouadhour… et la route allant de Laâzib à Thigoulmamine et Thikherkharth, sont dans un état de dégradation avancée. L'autre chemin qui cause autant de problèmes aux usagers est celui qui mène d'Amiès à Ighil (à l'extrême nord de Timizart). Certes ce tronçon a bénéficié de travaux de drainage de ses eaux pluviales et de réfection de ses ouvrages, mais il reste difficile à traverser pour ses usagers. La RN 71 et les tronçons reliant Agouni Oukhaled, Thighilt Teydhit, Thaâwint Ijedhâane, qui font souffrir les usagers, nécessitent également réfection et aménagement. Les plus pénalisés dans ces situations sont les habitants de ces lieudits, éprouvant mille et une difficultés pour rejoindre qui leurs lieux de travail, qui leurs établissements scolaires.