Même si les autorités locales ont fait du revêtement du réseau routier de la commune l'une des priorités, plusieurs axes restent à revêtir. A titre d'exemple, le tronçon de quelque 4 km, reliant Souk El Had, chef-lieu communal, au lycée des frères et père Ath Bata d'Ahriq Ouatar, est dans un état de dégradation avancée. Cet accès routier est considéré comme l'une des routes les plus oubliées de la commune. Il est parsemé par des trous béants qui rendent le trafic amplement difficile pour les usagers. En plus, les deux ponts traversant ce tronçon, posent un sérieux problème. Ils sont rétrécis, fissurés et risquent de s'effondrer. L'autre chemin nécessitant le revêtement est l'accès, de quelque 500 m, allant de l'arrêt des fourgons de transport de voyageurs Souk El Had-Village agricole socialiste (VAS), passant devant le CEM des quatre frères Ziane, vers le siège de l'APC. Cette route, surtout en période de pluie, est impraticable. Elle n'a jamais été revêtue. Une autre route qui a besoin de réaménagement. C'est celle reliant le chef-lieu de la commune au VAS. Ceci étant dit, plusieurs pistes agricoles nécessitent autant le revêtement. La piste d'Agourache, menant vers la RN71, au nord du village d'Abizar, à l'extrême nord de la municipalité de Timizart, est difficile à traverser. Certes, une partie de celui-ci a été sablée récemment, mais une tranche de quelque 300 m ne l'est pas encore. Et, estiment des habitants des alentours, des ponts devraient traverser cette piste dans certains endroits. Autres pistes dégradées : Ighil Bakhlane-Thaâwint Ijedhâane-Thikharkhart, Thaâwint Ijedhâane-Thighilt Teydhith, et Thighilt Teydhith-Agouni Oukhaled-RN71. Les habitants de ces lieudits souffrent le martyre pour rejoindre les lieux de travail, l'école etc. Signalons au passage que les citoyens des villages Abizar (commune de Timizart) et Tassast (commune de Ouaguenoun), ont sollicité à maintes fois les responsables pour revêtir l'axe routier reliant les deux communes (le nord-ouest de Timizart à Ouaguenoun). Ils l'ont demandé dans plusieurs requêtes adressées aux autorités. Celles-ci, donc, sont interpellées pour inscrire des opérations de réaménagement et de réfection nécessaires.