S'agissant des communications programmées, les thèmes porteront sur «la loi organique relative à l'information», de M.Brahim Brahimi, directeur de l'école de journalisme d'Alger, et sur «Les questions de service public et de démonopolisation de l'audiovisuel», de M.Belkacem Mostefaoui, directeur-adjoint chargé de la post-graduation. Deux autres conférences-débats sont prévues au cours de cette journée. Il s'agit de «La nouvelle économie de la presse», qu'animera M.Belkacem Ahcène-Djaballah, professeur associé, et «Les autorités de régulation dans les médias», de M.Mazouz Rézigui, ancien journaliste et cadre au ministère de l'Information. La tenue de cet évènement a été précédée, lundi dans la matinée, par une sympathique rencontre du représentant du journal qui a exposé devant d'anciens journaliste de la presse publique et privée les grandes lignes de cette rencontre, le point de départ d'autres initiatives à même de valoriser la profession, au niveau local, qui compte de nombreux titres dans les deux langues. C'est autour d'une question importante dans l'exercice du métier, à savoir l'inexistence dans la capitale régionale et deuxième ville du pays, d'un lieu de rencontre pour les journalistes, à savoir une «Maison de la Presse», une sorte de «Club des Journalistes», comme il en existe un peu partout dans le monde. Les débats, parfois passionnants, ont également été l'occasion pour les professionnels, c'est-à-dire l'ancienne génération, de parler de déontologie, de rigueur, de transparence et de certains devoirs de réserve. Enfin, il a surtout été question du comportement irréprochable du journaliste dans l'exercice de la profession et du devoir d'informer en toute objectivité, sur les bonnes et les pires conditions de vie de la société afin d'apporter des solutions adéquates à ses problèmes.
