Une bonne partie des habitants des 450 logements (APC-CNEP), et résidents de la cité Berarma (coop-Echourouk) sont « tancés »par les odeurs nauséabondes dégagées par le regard déversant ses eaux usées sur la chaussée. Ne se doutant pas des dangers encourus, les enfants, profitant de la démission de leurs parents lesquels ne savent pas que leur progéniture est plus que jamais menacée par une maladie à transmission hydrique (MTH), font de ce poison un moyen de divertissement. Déversées à l'air libre, ces eaux qui empoisonnent la vie des citoyens, n'offusquent pas outre mesure les responsables concernés, pourtant interpellés pas un citoyen ayant saisi, le 22 septembre 2009, l'office national d'assainissement devant parer au plus pressé, car il y va de la santé d'une population vivotant dans une atmosphère plus que délétère.