L'invité du jour : l'écrivain Samir Toumi qui a présenté sa première œuvre littéraire «Alger, le cri», parue aux éditions Barzakh. Lors de son intervention devant le public, il a parlé de son récit de 165 pages qui raconte l'histoire vécue par cet auteur entre l'amour profond de sa ville natale, l'amertume de la dureté de l'existence dans la capitale et la quête symbolique du cri, métaphore de la volonté de vivre. A ce titre, l'auteur a indiqué qu'il ressemble à l'oiseau maknine, beau et gracieux emprisonné dans sa cage qui ne pouvait crier pour être libéré. Un récit dont l'auteur est médiateur entre le lecteur et son vécu et dont le personnage principal est l'Algérien. A propos de l'écriture, il dira que cette dernière est une thérapie et que la ville d'Alger et son thérapeute qui l'a accompagné dans sa quête existentielle. Et de terminer en disant de sa création littéraire : «C'est un livre égoïste». Désormais, l'auteur de ce récit «Alger, le cri» ne se soucie plus si le cri est finalement sorti ou non. Il a maintenant une seule envie : «C'est encore écrire et toujours écrire. Un livre facile à lire qui est une thérapie par les mots pour traiter vos maux».