En plus de l'aspect esthétique de la lumière blanche qui éclaire ce monument, label de la cité, l'association a voulu, à travers cet acte, rappeler l'importance de l'économie de l'énergie en n'utilisant que des lampes à diode électroluminescente, ou lampe à LED (Light-Emitting Diode). Ces dernières, très en vogue à travers le monde, sont surtout connues par une consommation d'énergie inférieure aux lampes traditionnelles à incandescence. Selon M. Tabbouche, président de l'association Bariq 21, cette action est appelée à se poursuivre pour concerner d'autres lieux publics «On a constaté que cet édifice n'était jamais éclairé pour des raisons qu'on ignore, ainsi que d'autres vestiges. On a ainsi pris l'initiative de le faire pour célébrer, à notre façon, le 60ème anniversaire du 1er Novembre 1954.», rajoute notre interlocuteur. Ce dernier poursuit en lançant un appel aux autorités local «afin de lancer le plus vite une opération de réhabilitation de ce site car son état ne cesse de se dégrader. Nous proposons même de construire un nouveau siège pour la mairie et rendre ce vestige aux citoyens en tant que musée pouvant abriter les toiles de maîtres de Skikda ainsi que d'autres vestiges archéologiques.», a-t-il conclu.