La gendarmerie devra vérifier la véracité des faits liés «à des présumés indus versements de salaires à des personnes qui ne font plus partie depuis des mois, du personnel de l'APC». A l'exemple, selon des accusations, d'une ancienne femme de ménage, établie depuis près d'une année en France, mais qui aurait continué à percevoir son salaire par l'intermédiaire d'un proche. Deux autres personnes font actuellement l'objet de cette enquête.