Quatre pays ont postulé : l'Algérie, l'Egypte, le Ghana et le Gabon. La présence des délégués et membres de l'assemblée générale a été mise à profit pour défendre les dossiers et candidatures des pays et hommes en course pour l'organisation de la CAN-2017 et l'élection à la FIFA. Dans son édition du 5 février 2015, El Watan avait abordé ce sujet et indiqué que la lutte pour les deux places au sein du comité exécutif de la FIFA sera rude. Mohamed Raouraoua (Algérie) et Jacques Anouma (Côte d'Ivoire) sont en fin de mandat (2011-2015). Ils ont décidé de briguer un nouveau mandat. Le Tunisien Tarak Bouchemaoui et le Congolais (RDC) Constant Omari ont déposé leur candidature au secrétariat de la CAF. Les quatre hommes ont mené campagne en Guinée équatoriale. Les tractations vont se poursuivre tout au long des jours et semaines qui nous séparent du 7 avril. Il n'est pas exclu qu'un ou deux candidats se retirent de la course avant le mois d'avril. La nouveauté à partir de cette année réside dans le fait qu'à partir d'avril 2015 le mandat au comité exécutif de la FIFA sera de deux ans et non plus de quatre ans. A partir de 2017, interviendra un changement de taille dans le mode d'élection à la FIFA. Les membres africains qui intégreront le comité exécutif de la FIFA en 2017 seront élus par groupe linguistique. Les quatre langues officielles de la CAF sont le français, l'anglais, l'arabe et le portugais. Chaque groupe linguistique élira un membre. Les deux autres membres africains qui siègent au comité exécutif de la FIFA, l'Egyptien Hani Abo Rida et la Burundaise Lydia Nsekera, garderont leur fonction au sein du comité exécutif de la FIFA jusqu'en 2017.
