La location du marché du chef-lieu de daïra prend les allures d'une affaire pléthorique de non-dits. Les conditions contenues dans le nouveau cahier des charges sont décriées par différents opérateurs. Ces derniers pointent du doigt les rédacteurs du document précité, lesquels exigent pas moins de 17 documents administratifs. « La bureaucratie à Aïn Azel a la peau dure. Le souk de Sétif qui a été loué contre 100 millions de dinars n'a pas nécessité toute cette paperasse exigée pour celui de Aïn Azel, cédé contre 6,4 millions de dinars », diront certains soumissionnaires, qui auraient proposé 10 millions de dinars.