– Cité Diar El Afia (Bourouba) : Manque de commodités Les habitants de la cité Diar El Afia, dans la commune de Bourouba, déplorent le manque d'équipements publics dans leur quartier. L'éclairage est inexistant dans les ruelles de la cité. Quant aux routes, elles sont devenues au fil du temps impraticables. Cette cité tentaculaire manque également d'espaces verts et d'aires de jeu pour leurs enfants. «Notre cité est située sur un flanc de montagne abrupt et escarpé. Il n'y a pas de place pour les aires de jeu ou les stades de proximité», confient des habitants. Outre ces problèmes, le quartier manque de toutes les commodités à même d'offrir aux résidants un cadre de vie décent. L'insalubrité qui règne dans les ruelles du quartier renseigne sur le travail du service de la voirie de l'APC, qui est aléatoire. «Notre cité est devenue très sale. Les services de l'APC chargés du ramassage des déchets ménagers ne font pas leur travail», assurent-ils. Ces habitants lancent un appel aux responsables locaux pour qu'ils prennent en charge leurs doléances. – Route Rouiba-Aïn Taya : Un rond-point doté de ralentisseurs A Rouiba, de nouveaux dos-d'âne ont été installés en amont d'un rond-point. Pour obliger les automobilistes à respecter la priorité, les pouvoirs publics n'ont pas trouvé mieux que d'installer ces ralentisseurs sur une route à grande circulation. Tout au long de cet important axe routier qui relie la commune de Rouiba à celle de Aïn Taya, plusieurs ralentisseurs ont été installés, réduisant la fluidité de la circulation. Des embouteillages se forment en plusieurs endroits, pénalisant les automobilistes. Les voitures peinent à franchir ces monticules. «Il y en a de toutes les formes et de toutes les dimensions. Les autorités qui interviennent sur la chaussée doivent normaliser les dos-d'âne», suggère un automobiliste.