Ouled Farès, chef-lieu de daïra abritant le nouveau pôle universitaire, n'est pas épargné par les dégradations continues du cadre de vie. A chaque précipitation, le centre-ville se transforme en véritable patinoire où les habitants et les passagers ont du mal à circuler. Lors de ses récentes sorties sur le terrain, le chef de l'exécutif de wilaya avait donné, selon les habitants, des instructions fermes aux responsables locaux pour la prise en charge de ce problème, mais en vain. Les citoyens, à l'image des occupants du quartier proche du CEM Tahar Henni, reviennent à la charge pour réclamer un meilleur sort. Dans une requête adressée à notre bureau, ils sollicitent à nouveau l'intervention du wali pour remédier à leur situation. « Les résidents n'ont jamais cessé d'interpeller les autorités locales sur ces carences qui nuisent beaucoup au cadre de vie de la population, mais aucune amélioration n'a été apportée à notre dur quotidien. Après chaque averse, les habitants de la cité et les élèves du CEM vivent un véritable calvaire ; ils pataugent dans la boue et sont empêchés de se déplacer dans le périmètre en question », écrivent-ils dans leur correspondance.