Lotissement Ben Redouane : Les habitants réclament plus de commodités Les habitants du lotissement Ben Redouane, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent le manque d'équipements publics et d'aménagements dans leur quartier. L'éclairage public est pratiquement inexistant dans les venelles de la cité. Quant aux routes, leur état laisse à désirer. Hormis l'artère principale, dont le revêtement en bitume a été refait, aucune route secondaire n'a bénéficié de ce genre d'aménagement. L'artère principale n'est autre qu'une route nationale. «Les routes secondaires qui se trouvent aux abords de la route nationale n'ont pas été goudronnées. En hiver, nous pataugeons dans la boue, en été nous faisons face à la poussière», dénonce un habitant du lotissement. Les habitants déplorent également le manque d'espaces verts et d'aires de jeux pour leurs enfants. «Dans notre quartier, il n'y a pas de place pour les aires de jeux ou les stades de proximité. Toutes les assiettes foncières ont été utilisées pour la construction d'habitations», assurent-ils. «L'APC de Bordj El Kiffan dont dépend notre quartier s'est limitée à assurer le revêtement de quelques artères principales, les ruelles et venelles qui se trouvent dans les quartiers et lotissements d'habitation ont été négligées», concluent-ils. Commune de Aïn Taya : Un terrain servant de marché récupéré par l'EPLF A Aïn Taya, les marchands informels qui exerçaient aux alentours du marché couvert ont été installés par les autorités locales dans un terrain vague qui se trouve à la sortie de la ville, plus précisément à proximité de l'hôpital. Cette nouvelle disposition arrange tout le monde, car en plus de l'accès facile au marché, les clients peuvent garer leurs voitures près du marché. Cependant, l'espace commercial a été fermé par les autorités locales, parce que le terrain en question, apprend-on auprès des marchands, a été récupéré par son propriétaire, en l'occurrence l'EPLF, ce qui est tout à fait légal. Mais les marchands qui exerçaient dans cet espace ont vite fait de reprendre leurs anciennes places, aux alentours du marché couvert, créant une indescriptible anarchie.