L'éclairage public est pratiquement inexistant dans les venelles de la cité. Quant à l'état des routes, ces dernières sont impraticables. Hormis l'artère principale dont le revêtement en bitume a été refait récemment, aucune route secondaire n'a été goudronnée. «En hiver nous pataugeons dans la boue, en été nous souffrons de la poussière», confie un habitant du lotissement. Les habitants déplorent également le manque d'espaces verts et d'aires de jeux pour leurs enfants. «Dans notre quartier, il n'y a pas de place pour les aires de jeux ou les stades de proximité. Toutes les assiettes foncières ont été utilisées pour la construction d'habitations», confient-ils, «l'APC de Bordj El Kiffan, dont dépend notre quartier, s'est limitée à refaire le revêtement de quelques artères principales, les ruelles et venelles qui se trouvent dans les quartiers et lotissements d'habitation ont été négligées».