Près d'une vingtaine de salles de soins, réalisées dans l'optique de promouvoir la santé de proximité, sont fermées dans diverses communes de la wilaya. Certains d'entre elles, à l'exemple de celles de Bouchakour, Benarous, Sriâa, El Ardja, Ouled Ben Salah, relevant respectivement des communes des Issers, Baghlia, Sidi Daoud, Cap Djinet et Ammal, sont totalement abandonnées. D'autres servent de cantonnement aux détachements locaux de l'ANP, à l'instar de celles implantées au niveau des villages Ouled Ali (Thenia) et à Ouled Abdellah, à mi-chemin de Sidi Daoud et Ouled Aïssa. Dans la plupart des communes précitées, on invoque les aléas de l'insécurité. L'on ne comprend pas, pourtant, pourquoi certaines structures réalisées récemment, dans des endroits sécurisés, comme celles des agglomérations d'Ouled Ameur et Aïn Skhouna, dans la commune de Bordj Menaïel, ne sont pas encore mises en service.
